
Le trait naïf, la main encore engourdie. Cette nuit, le monde autour de moi s’est figé.
Femme, je n’aime pas tes yeux. Je devrais les redessiner, fermés. Peut-être plus tard, une autre nuit, je reviendrai clore ton regard.
Je ne sais pas non plus si j’aime cet homme – est-il tien ?- et ce visage qui disparaît.
Femme, ce que je voulais te chuchoter, en fait, c’est que les couleurs qui te déshabillent, m’ont été données par ma chère Grenouille.
Femme, ce que je voulais te chuchoter, en fait, c’est que les couleurs qui te déshabillent, m’ont été données par ma chère Grenouille.
Heureuse de voir que la boîte à couleur que je t'ai laissé en cadeau par chez toi te donne enfin l'envie d'y replonger !!
Les fantômes n'ont pas encore disparu on dirait, mais de bon présage certainement pour cet homme au seul regard et pour les yeux ouverts aussi...
Je crois que ces teintes sont tiennes, et que la chaleur qui en ressort est superbe !
Merci mag.
(veux voir la boîte complètement distroy la prochaine fois que je viens !!) ;)
Beau déshabillage alors !
ma Valentine...tu ne montres pas toujours (pas assez) ton travail...
Mais j'aime bien cet homme qui apparait en soutien et je pense que c'est le sien d'homme... en retrait, et un peu de trois quart parce qu'elle n'a pas besoin de lui mais là tout de même...
encore Valentine! donne nous-en encore...
:)
>Katy:les craies sont en miette, usées jusqu'au pied :-)Vivement que tu viennes nous voir ma Grenouille!
>Malvina: merci! encore beaucoup de progrès à faire, mais on y travaille! ^^
>Valentine: bon, adjugé: on dira que c'est son homme! Et elle va le garder parce qu'en fait, elle a besoin de lui! ;-)