Bloguer c'est comme se masturber dans l'oeil de l'autre.Ecarter les cuisses, viol autorisé de l'intime.
Un gigantesque bukkake électronique. Des litres de flots déversés sans pudeur.
Jouissance sous capote numérique.
Réceptacle de fantasmes, frustrations, perversions.
Parfois.
Découvrez Vitalic!
Très beau résumé ! J'adhère.
Bah !
@Walkingthedog: bienvenue à toi dans mon bordel à bricoles:-)
Se livrer aux autres tout entier ou en partie. Humains au scanner.
En principe, tu as raison, magwann. Il n'en reste pas moins que tu as le contrôle sur ce que tu veux bien raconter. Voilà la nuance importante à souligner.
IMHO... ;)
Ben oui, je vais écouter les autres chansons de Wax Tailor, c'est sûr!
@Inukshuk: "Se livrer aux autres tout entier ou en partie", tout à fait d'accord avec toi.
(J'ai été obligée de faire une rercherche pour comprendre IMHO! Et la version française est AMHA.
:-))
who..Ce coup dans la tête!...Violent.
Ah ! Moi j'avais jamais vu les "choses" sous cet angle là...
Les gosses enfermer vous dans votre chambre, n'en sortez que si je vous y autorise : papa va bloguer 3 minutes 30 !!!
@Merlin: :-), "parfois", :-)
ouch !!
(te revoilà, enfin...)
@Anonyme:violent. Violents comme parfois le sont les mots, les images, les univers découverts ici et là dans cette gigantesque arborescence.
@Katy: exactement.Exactement, je me retrouve dans la force de la terre.Enfin.
Intéressant fantasme, je reviendrais sur ton "Bon Long Orgasme Général"
Qui aurait cru que la terre glaise provoquait une telle jouissance numérique? :)
@rmh: B.L.O.G: bien vu:-)
C'est le sentiment que j'ai parfois ,quelque chose d'assez violent dans ces multitudes d'intimités offertes, un écran monstrueux où gémissent des millions de lucarnes.Le mienne y compris.Un gigantesque magma humain, un peu le Blob(cf. Chuck Russell) du blog;-)
Mmmh.
CA , c'est des mots que j'aurais voulu écrire.
;-)
@Mélo: On signe où la pétition pour ton retour?
Fait long maintenant..
Pas fou, pas fou.. :)
@Dean: bienvenue!Pas si fou alors?... Merci à toi pour avoir pris la peine de t'arrêter un instant ici.